Et pourquoi avoir choisi le speudo Thot.
 
Les rites de la mort
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Les Egyptiens ont de la mort une conception très différente de la nôtre.
Momie de Ramsès II
Pour eux, il exciste deux sortes de trépas.
D'abord la mort biologique,
qui n'est qu'une phase dans un cycle sans cesse réitéré de naissance, croissance, déliquescence et renaissance.
Cette mort là, ils savent bien qu'ils ne peuvent pas l'éviter, elle est même souhaitable, puisque dans l'ordre des choses.
Le grand danger, c'est la seconde mort, l'anéantissement total, le retour au non-être dont est issue la création, au désordre lié aux forces du chaos.
C'est elle qu'il faut absolument combattre moyennant tout un rituel funéraire qui permet au défunt de rejoindre le monde imginaire où les dieux asssurent la conservation de l'Univers.
Assimilés à des entités malfaisantes, les crimminels n'avaient pas le droits à ces rituels.
Leur corps détruit, leur nom effacé, ils étaient condamnés à voir tous les éléments de leur être - physique et spyrituel - dispersés.
Voués à une mort définitive.
Des vases canopes
Les vases canopes renfermaient les vicères du défunt une fois la momification effectuée,
dans le but de la reconstitution de son corps dans l'au-delas.
 
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